Page sur l’idéographie

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Ici j’explique comment j’ai écrit l’idéographie de Gottlob Frege dans mon mémoire de DÉA (ça n’existe plus ☹). Si certains caractères vous manquent, changez de police de caractères d’affichage (cherchez des polices ici ou , en particulier Arial Unicode de Microsoft, disponible dans Office ainsi que Code2000). Notez que cette page est maintenant valide auprès du validateur du W3C.

J’utilise dans ce document le codage HTML hexadécimal des caractères (entre parenthèses), je vous invite à lire le code source de cette page ou à copier les caractères directement. Dans le document OpenOffice.org, je n’ai pas utilisé cet encodage vu sa lourdeur et vu la possibilité d’écrire les caractères directement. J’ai utilisé quelques styles spécifiques (« gothique », « beau », les mêmes que dans le code source de cette page sauf « arial »), quelques raccourcis pour le clavier pour certains caractères, et utilisé massivement le copier/couper/coller ainsi que parfois la bidouille de l’espace hair quand les alignements n’étaient pas parfaits. Il existe une applet java pour écrire de l’idéographie dans LaTeX, mais je ne la trouve pas très jolie et elle se limite aux premières pages de l’Idéographie (Begriffsschrift), c’est-à-dire aux deux premiers chapitres, pas au troisième sur la théorie générale des suites et encore moins aux Lois fondamentales (Grundgesetze der Arithmetik).

Comme j’ai l’intention de continuer à décortiquer les Lois fondamentales (Grundgesetze der Arithmetik, c’est ce qui m’a le plus amusé dans ce mémoire), je posterai ici les résultats de mes recherches de polices et de caractères. Si vous en trouvez qui correspondent mieux, merci de me le faire savoir (enlever les capitales). J’ai trouvé, il a suffit de faire appel aux styles CSS et à la balise span (c’est lourd, mais ça marche).

Pour l’idéographie de base, les traits de jugement, de contenu, les négations et autres conditionnalités, j’ai utilisé les caractères unicode de la série de la boîte de dessin, dits aussi des filets (0x2500 à 0x257F), c’est-à-dire :

Les parenthèses utilisent les caractères suivants :

Pour le creux du quantificateur universel, noté actuellement ∀, j’utilise trois caractères superposés et centrés horizontalement (pour un aspect plus agréable), puis groupés et collés comme caractère :

Pour les lettres grecques, par exemple des parcours de valeurs, j’utilise :

Les lettres spéciales désignant certains parcours de valeurs :

D’autres combinaisons pour les successions non-immédiates, on superpose le prime à l’un des deux autres caractères que je centre horizontalement, groupe et colle comme caractère :

Les traits d’inférences sont les suivants :

Quelques autres symboles utilisés :

Quelques exemples faisables mais lourds en HTML (merci konwert et la ligne de commande) :

├┬┬┬─ E 
 ││└─ A
 │└─┬ B
 └─── D
   ╳
├┬┬┬─ B
 ││└─ A
 │└─┬ E
 └─── D

(IV)
├┬─ (─ a)=(─b)
 └┬ (─ a)=(┬b)

(VI)
├ a = ⧵ἐ(a=ε)

├┬⎛┬ a  ⎞
 │⎝└ b⎠
 └── a

├ 0⃥(1⃥f)

╟ nἐ(┬ε=ε)=0⃥

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